
Une identité visuelle où l’art devient un manifeste, célébrant les corps et dénonçant les normes oppressives.
Question de départ
No-Body Is Wrong (NBW) est bien plus qu’un projet militant : c’est un acte artistique et politique. Porté par une chorégraphe engagée, NBW revendique une réappropriation des corps à travers l’expression artistique, le mouvement et la performance. L’objectif ? Dénoncer les normes oppressives, visibiliser les vécus invisibilisés et créer des espaces d’expression libérateurs.
Question principale
Comment traduire un projet aussi intime et engagé en une identité visuelle forte et cohérente ? L’univers graphique de NBW devait à la fois porter un message revendicatif, transmettre une émotion artistique et créer un impact durable. L’enjeu était de concevoir un langage visuel vivant et expressif, capable d’embrasser l’énergie du mouvement, la spontanéité de l’art et la puissance du militantisme.

Transformer vos mots en indentité de marque
L’approche créative s’est articulée autour de trois concepts clés : Empowerment — Wild — Art.
Le résultat est un système visuel vibrant, organique et incarné, où l’art et la revendication se mêlent :
Une identité visuelle performative : inspirée par la danse et le mouvement, l’esthétique de NBW évoque la liberté, l’énergie brute et l’expression corporelle comme outil de réappropriation de soi.
Un langage graphique sensoriel : textures de peinture, formes imparfaites, traces de geste capturées dans la matière visuelle traduisent un rapport viscéral à l’image.
Des repères symboliques puissants : chaque projet est associé à une partie du corps et une forme géométrique spécifique (carré, triangle, arche, cercle), renforçant l’identité narrative et la dimension artistique du projet.
Une esthétique qui interpelle : photographies en noir et blanc à fort contraste, compositions brutes, une mise en scène volontairement frontale et expressive qui capte le regard et bouscule les codes établis.
Un équilibre entre provocation et poésie : attirer l’œil, susciter une réaction, mais aussi inviter à une réflexion plus profonde sur notre rapport au corps et à l’image.